Tout locataire de logement a l’obligation de souscrire à une assurance habitation tandis que cette dernière est fortement recommandée pour les propriétaires. Oui mais que couvre réellement cette assurance? En effet, il semble important de connaître, même sommairement, le contenu de ce contrat à caractère plus ou moins obligatoire selon la nature de l’occupant. Zoom sur les garanties que peuvent offrir un contrat d’assurance multirisque habitation ou MRH.

MRH: l’étendue de la couverture

L’étendue des garanties offertes par une assurance MRH peut varier d’un contrat et d’un assureur à un autre. D’une part, comme le contrat d’assurance Habitation MAIF, ce type de couverture prend en charge les bâtiments d’habitation, les clôtures et les dépendances classiques éventuelles comme le garage, les vérandas ou la cave. Ces dernières doivent être déclarées à la compagnie d’assurance de manière précise pour être couvertes. Par contre, les piscines, les cours de tennis, les plantations et les salons/abris de jardin représentent souvent des exclusions aux yeux d’un contrat MRH de base. Une assurance MRH couvre, dans certaines limites et sous conditions, les objets personnels et les meubles appartenant à l’assuré, aux membres de sa famille qui résident dans le logement garanti. Cependant, les biens professionnels s’y trouvant font souvent l’objet de garanties optionnelles. De même pour les objets de valeur et espèces qui doivent être, à minima, déclarés de façon spécifique à l’assureur. Les véhicules motorisés sont également exclus car font l’objet d’assurance spécifique.

MRH: les garanties basiques

La couverture assurance habitation inclut systématiquement la Responsabilité Civile. Cette garantie prend en charge les préjudices matériels et corporels causés à des tiers par l’assuré et les membres de sa famille habitant sous le même toit. Base de toute MRH, la garantie incendie couvre les dommages provoqués par une explosion, la foudre, une implosion, un courant électrique ou le dégagement accidentel de fumées sur le logement. Ce type de sinistre n’est pas le plus fréquent en termes de MRH mais demeure le plus coûteux pour les assureurs. Ensuite, les catastrophes naturelles représentent, au même titre que la garantie tempête, une couverture minimale du contrat assurance habitation. Cette garantie requiert la reconnaissance d’un état de catastrophe naturelle par arrêté au journal officiel.

MRH: les garanties optionnelles

Une assurance habitation peut incorporer plusieurs garanties optionnelles selon la demande et les moyens du souscripteur. Dégâts des eaux, bris de glace ou cambriolage, les besoins de ce dernier dictent le niveau de couverture qui sera fourni par l’assureur. Aussi, pourra-t-on trouver l’indemnisation des pannes subies par les appareils électroménagers, une garantie villégiature, une assurance voyage et une protection juridique. Un contrat MRH peut même inclure la garantie assistance en cas d’accidents de l’assuré à son domicile et une assurance scolaire pour ses enfants.

Bien souvent, les jeunes conducteurs sont considérés comme peu expérimentés et se voient infliger une prime d’assurance plus élevée compte tenu des risques à couvrir. Pour circuler en toute légalité cependant, il faut souscrire à une assurance auto. Dans ce cas, comment faire pour trouver un contrat pas cher lorsqu’on est un conducteur novice ?

Bien déterminer son profil lors de la souscription

Afin de dénicher l’offre d’assurance jeune conducteur la moins chère, l’idéal est de passer un permis avec la conduite accompagnée pour commencer. Les compagnies d’assurance sont généralement plus indulgentes envers les débutants et réduisent par conséquent les surprimes. La plupart du temps, il est possible d’obtenir une réduction pouvant aller jusqu’à 30 %. Ce qui vous fera de belles économies. Un apprenti du volant peut également se déclarer comme conducteur secondaire (de la voiture familiale par exemple) pour réduire le montant des cotisations. Pour trouver un contrat adapté à votre profil, des spécialistes comme MAIF peuvent vous aider.

Choisir la bonne formule pour payer moins cher

Dans la mesure où un conducteur novice est considéré comme à risque, mieux vaut choisir le bon modèle pour le premier véhicule. Les primes d’une assurance auto jeune conducteur sont en effet déterminées selon la puissance, la marque et le modèle de voiture utilisée. Vous avez donc tout intérêt à opter pour une auto de faible puissance et d’occasion de préférence. Ceci diminuera également les cotisations. Par ailleurs, le choix de la formule d’assurance influence grandement les mensualités. Selon vos besoins en couverture et votre budget, vous aurez le choix entre une assurance au tiers, au tiers +, ou tous risques. Si la première option est la plus abordable, elle ne couvre cependant que les dégâts causés au tiers. L’assurance tous risques quant à elle permet de bénéficier de la couverture optimale, mais elle s’avère souvent coûteuse. Tout dépend donc de vos attentes. C’est pourquoi il est préférable de comparer les offres proposées par différents assureurs afin de trouver le meilleur prix. Pensez donc à utiliser un comparateur d’assurance en ligne pour faciliter la recherche.

Autres astuces pour trouver moins cher !

Pour souscrire à une assurance auto jeune conducteur tout en faisant des économies sur le budget couverture, il est conseillé d’augmenter le montant de la franchise. Il s’agit de la somme qui reste à votre charge en cas de sinistre. De nombreux établissements proposent également une assurance à la carte qui vous permet de personnaliser le contrat et les couvertures selon vos besoins et votre budget. Un jeune conducteur qui roule à moins de 8000 km par année peut par exemple, opter pour un contrat au kilomètre. Vous pouvez par ailleurs souscrire à des formules à la journée pouvant engendrer jusqu’à 25 % de réduction sur les cotisations.

Pour procéder au calcul du prix d’une assurance auto, l’assureur devrait prendre en compte certains éléments. Ces derniers concernent aussi bien : la tarification, les points liés au véhicule lui-même et les éléments liés au profil du conducteur. La détermination exacte de ce prix n’est pas du tout la même pour les assureurs existants ainsi que pour les assurés. De ce fait, il existe de nombreux facteurs qui interviennent dans le calcul de ce prix d’assurance auto, qui concernent donc :

Les critères de tarification

En effet, la tarification des assureurs pour les conducteurs de véhicules ne sont pas du tout la même. Elle est parfois très différente car les tarifs pratiqués par les compagnies d’assurance dépendent principalement des études et des statistiques représentatifs des sinistres, dont les accidents, le type de véhicule, les lieux du sinistre ou bien l’activité professionnelle du conducteur. Le calcul du prix de l’assurance auto implique aussi la détermination d’une franchise, qui représente la somme que l’assureur devrait payer en cas de sinistres. Cette franchise est déductible, et ainsi applicable lorsque l’assuré réclamera la prime dans un accident dont il est le responsable, sinon en cas de collision, aucune franchise n’est pas à débourser par le conducteur. Trouvez un meilleur prix pour une assurance auto chez https://www.maif.fr.

Les critères liés au véhicule

Ces critères impliquent la détermination du type de ce véhicule, ses équipements, son coût de réparation, sa marque, son modèle, sa valeur, le nombre d’année (âge) et son usage. En effet, cette assurance auto ne couvre que le véhicule, mais pas le souscripteur. C’est pourquoi la détermination exacte de ces différents éléments est nécessaire dans le calcul du prix. En outre, la motorisation de cette voiture joue ainsi un rôle clé dans ce calcul, par exemple si sa motorisation est en essence, en diesel, électrique ou même hybride. A ce propos, le moteur électrique est en effet plus cher que celui du modèle thermique. D’où le calcul prix assurance auto pourrait être influencé par les sommes éventuelles de réparation. Concernant l’usage du véhicule, son utilisation devrait être prise en compte pour évaluer les risques qui pourraient se présenter.

Les critères liés au profil du conducteur

Le profil du conducteur joue aussi un rôle très important dans le calcul du prix de l’assurance auto. Les critères liés à ce profil sont en effet les paramètres essentiels dans la tarification de cette assurance. Ils concernent de ce fait les éléments liés aux profils similaires du conducteur et ses antécédents, qui sont très importants pour la fixation de la cotisation annuelle de l’assuré. Ainsi, ces différents éléments insistent sur l’âge du conducteur, son sexe, sa situation familiale et professionnelle, le type de son permis de conduire, son lieu de résidence et son ancienneté. Par conséquent, tous ces critères dépendent profondément de la variation de la fréquence des sinistres qui pourraient se produire.

Au fur et à mesure que le temps avance, des offres d’assurance automobile plus alléchantes peuvent surgir et vous donner l’envie de résilier votre contrat d’assurance en cours. Toutefois, vous ne savez ni les conditions ni le bon moment requis pour le faire ? Vous avez la possibilité d’effectuer la résiliation assurance auto lors de l’anniversaire dudit contrat, après un an de contrat, et lors de la vente du véhicule.

Quand résilier son contrat d’assurance auto ?

En général, l’assurance auto est un contrat à tacite reconduction pour chaque anniversaire. Toutefois, selon la loi Chatel adoptée en 2005, les assureurs sont dans l’obligation d’informer, 75 à 90 jours à l’avance, les titulaires d’un contrat d’assurance auto avant la date prévue pour la reconduction. Les assurés auront le choix de résilier ou reconduire 60 jours maximum post-échéance et auront 20 jours pour la dénonciation de la reconduction. Selon la loi Hamon, il est également possible de résilier assurance auto après un an. Aucune justification ne sera requise de l’assuré et la résiliation de l’ancien contrat est à la charge du nouvel assureur. Si vous souhaitez vendre votre véhicule, sachez également que la résiliation pour vente est une autre possibilité pour résilier votre assurance auto. Il est également judicieux de noter que la destruction ou le vol de votre véhicule constitue une résiliation automatique de votre contrat d’assurance auto. Consultez le site www.maif.fr pour de plus amples informations concernant comment et quand résilier son assurance auto.

Quelles sont les démarches requises pour résilier un contrat d’assurance auto ?

Il convient de bien suivre les démarches afin de procéder à une résiliation assurance auto valide. Avant même de procéder à la rupture du contrat d’assurance auto, l’assuré doit trouver un nouvel assureur pour pouvoir continuer à utiliser le véhicule. Le nouvel assureur se chargera de la résiliation à la place de l’assuré une fois que ce dernier aura rempli un mandat l’autorisation à y procéder à sa place. Il faudra ensuite attendre un mois pour que l’ancien contrat ne fasse plus effet que le nouveau contrat d’assurance auto commence.

Comment bien rédiger une lettre de résiliation de contrat d’assurance auto ?

Si vous souhaitez procéder à la résiliation de votre contrat d’assurance auto par vous-même, la lettre de résiliation doit obligatoirement comporter vos informations personnelles : nom, prénom, et adresse. Le nom et l’adresse de l’assureur seront aussi requis en plus du numéro du contrat d’assurance et de l’immatriculation du véhicule. N’oubliez pas de mentionner l’objet et le cadre de la demande de résiliation.

Les œuvres d’art ne sont jamais à l’abri d’un œil égaré et des oreilles curieuses qui font courir le bruit que vous avez en votre possession une œuvre d’art qui peut valoir une fortune. Tout autant qu’un bien immobilier, une œuvre artistique doit être protégée contre les aléas du futur. C’est pourquoi, la souscription à une assurance œuvre d’art est plus que requise.

Assurance œuvre d’art : comment ça marche ?

D’un point de vue théorique, la souscription à une assurance œuvre d’art n’est pas obligatoire, mais la peur de se faire dérober ses précieuses pousses les artistes à les assurer. D’autant plus, lorsque ces œuvres d’art ont une grande valeur sentimentale et financière, les propriétaires s’empressent de les assurer. Mais avant toute chose, les assureurs prennent soin d’estimer ces œuvres artistiques. Le recours à une telle expertise peut se faire par le biais d’un assureur privé ou une assurance qui s’est vouée corps et âme à l’évaluation de ces objets de valeur. Cette étape ne devrait pas être brûlée de façon à fixer le forfait de l’assurance.

Comment faire évaluer son bien ?

L’estimation d’une œuvre d’art se définit en fonction de plusieurs critères. En l’occurrence l’auteur de l’œuvre d’art, sa nature, sa date de création sans oublier ses formes et ses dimensions sont des critères indispensables pour son évaluation. Ces éléments constituent la carte d’identité de l’œuvre artistique et donc des critères de base qui serviront d’indice pour l’assureur. Mais pour accélérer le processus, vous devriez fournir à l’organisme assureur toutes les informations relatives à l’œuvre artistique. Quitte à prendre quelques clichés avec un descriptif pertinent de l’objet où il est indispensable de mentionner la matière dont il est fait, son ancienneté, sa valeur marchande, le prix d’acquisition et bien d’autres encore. Pour que ces détails soient validés, vous allez devoir vous armer des papiers et factures relatifs à l’acquisition de l’œuvre d’art.

Quelles sont les garanties ?

En assurant vos œuvres d’art, les assureurs se promettent de les garantir contre les risques à la maison et dans le monde entier surtout durant les transports. Entre également dans ce cadre, les garanties en fonction de l’évolution du marché. Le but est d’ajuster la valeur du chef-d’œuvre en fonction du marché. L’assurance doit également être capable de couvrir les frais et coup supplémentaires occasionnés par un sinistre. Entre également dans leur champ d’intervention la protection juridique et les frais occasionnés par les litiges. De manière simplifiée, vous allez mettre votre œuvre d’art entre les mains d’un organisme assureur pour garantir sa sécurité.

Avez-vous un chien ? Il faut connaitre l’évaluation de leur comportement. Car certaines personnes se demandent si les bergers allemands races dangereuses existent. S’il est considéré comme cela, son maitre doit l`assurer. Mais pourquoi ? Et quelles sont les assurances possibles ? L’article suivant peut vous aider.

Qu`est-ce qu`un chien dangereux ?

Avant de faire l`assurance chien dangereux, il faut connaitre les races dites comme ceci. Il est dangereux s`il a la capacité physique. C’est-à-dire si sa mâchoire est puissante. En plus, il est dit dangereux s`il a une grande taille, un poids, et une force. De même, s’il est dangereux, il représente un potentiel agressif qui provoque un danger pour son entourage.

Quels sont donc les chiens dangereux ? Il existe deux catégories de ces animaux. Premièrement, il s`agit du chien de catégories 1 appelé chien d`attaque. Cela se divise en trois types : le chien de type Tosa, le chien de type American Staffordshire terrier ou pit-bulls, et le chien de type Mastiff appelé boerbulls. Ensuite, la deuxième catégorie ou le chien de garde et de défense sont aussi dangereux. Il se compose en un type et trois races. Il s`agit des chiens de race : American Staffordshire terrier, chien de race Rottweiler, ou Tosa, et les chiens de type Rottweiler.

Quels sont les avantages d`assurer un chien dangereux ?

L`assurance chien dangereux donne beaucoup des avantages. Il permet d`avoir des remboursements qui varient selon les offres choisies. Cela garantit les soins requis pour l`animal. Souscrire à une assurance chien dangereux est avantageux pour les propriétaires. Cette assurance propose des services des conseils. Elle vous dirige vers les démarches à suivre, les fonctions d`accompagnement juridique et administratif. En plus, cela assure la protection de son propriétaire pour les dégâts provoqués par l`animal.

De même, le chien a le droit de bénéficier de soins pour qu`il soit en bonne santé. En cas de morsure sur autrui, accident, ou chute de personne, l`assurance doit rembourser tous les soins vétérinaires, et les préjudices de l`animal.

Quelles sont les assurances pour les chiens dangereux ?

Puisque les chiens de catégorie 1 et 2 représentent un comportement qui provoque des dangers pour les autres, il est nécessaire de les assurer. Il existe deux types d`assurance chien dangereux.

Bref, il est nécessaire d`assurer les chiens dangereux, car cela donne beaucoup des avantages pour le propriétaire et les animaux de compagnie.

D’après le Ministère des Sports, les stations de ski en France enregistrent près de 45 000 interventions de secouristes à chaque saison de sport d’hiver. Bien qu’on ne soit pas à l’abri de chutes éventuelles, prévoir une assurance ski est un impératif et ne réserve que des avantages.

Vérifier les couvertures proposées dans votre contrat d’assurance actuel

Avant de se lancer dans les pistes de ski, il est toujours conseillé de consulter vos contrats d’assurance actuels avant de vous précipiter à souscrire une assurance ski spécifique. Il existe bel et bien des compagnies d’assurances qui intègrent dans leurs contrats d’assurance multirisque habitation une garantie spéciale qui couvre les frais d’assistance ski.

Si vous êtes couvert par une assurance individuelle ou une assurance garantie accident de la vie, il est toujours un bon geste de vérifier si votre clause de couverture inclut la prise en charge d’une mésaventure pendant la pratique de ce sport d’hiver. De même pour votre mutuelle santé. Il y a des organismes mutuels dont les champs d’application ne couvrent pas les soins en cas d’accident sur les stations de ski.

Quels avantages de souscrire une assurance ski ?

La souscription d’une assurance ski demeure facultative et elle est proposée par les exploitants de remontée mécanique. Ce contrat vous offre une couverture optimale en cas de chute ou d’accident. Mêmement, il peut inclure plusieurs éventualités à l’instar du remboursement des frais médicaux et d’hospitalisation, le remboursement des cours de ski et des forfaits, le rapatriement en cas de dommage corporel, le frais de dédommagement du matériel de ski et encore les frais d’annulation de l’hébergement loué à l’occasion. Souscrire un contrat d’assurance ski vous engage à verser une cotisation par personne. Surtout, il faut rester éveillé sur les tarifs appliqués et les éventuels doublons.

Comment bien choisir sa formule d’assurance ?

Puisque prendre une assurance s’avère être une mesure de prévoyance en cas d’accident, il importe également de savoir faire le bon choix sous peine de faire une dépense inutile. En général, il y a trois types d’assurance spécifiques pour les skieurs.

Pour souscrire une assurance ski, il faut bien réfléchir sur le choix du forfait puisque les garanties de couverture en cas d’accident en dépendent majoritairement. Si vous optez pour un forfait journalier, il convient de prendre une assurance à la journée.

Choisir une assurance vacance sera plus intéressant si vous partez pour un séjour ski pour une semaine. À contrario, pour une pratique de ski toute l’année, il est indispensable de souscrire une assurance mensuelle.

L’immobilier est l’un des investissements qui peut rapporter gros, surtout dans le cas d’une location. Pourtant, comme tout investissement, le risque existe. En effet, il se peut que votre locataire ne remplisse pas ses engagements en omettant de payer le loyer. Que faut-il donc faire pour gérer ce risque?

Se protéger contre les loyers impayés : Est-il suffisant le fait de bien choisir son locataire ?

Pour se protéger des loyers impayés, la première prévention est de bien choisir son locataire. En effet, il vous faut vérifier toutes les informations concernant le futur locataire et qu’il vous donne avant de lui donner les clés. Il faut savoir différencier les vrais du faux dans toutes les données entre vos mains.

Toutefois, il se peut que le futur locataire sache jouer de cette étape et vous donne des informations qui paraissent vrais. Il a su profiter de la situation pour que vous ne puissiez douter de rien et que même en faisant des enquêtes, vous ne trouverez rien.

Pour pouvoir vous protéger de ce genre de locataire, il vaut mieux souscrire une assurance loyers impayés. Vous pourrez contacter votre assurance pour cela car la majorité des assurances proposent ce produit.

Se protéger contre les loyers impayés : comment fonctionne l’assurance loyers impayés ?

L’assurance loyers impayés prend aussi le nom de garantie loyers impayés ou GLI. Elle est surtout destinée à payer les loyers impayés par le locataire. C’est une assurance souscrite par le propriétaire. Pour cela, il doit verser des cotisations.

L’assurance loyers impayés peut aussi couvrir les dégradations matérielles du logement. A part cela, elle peut aussi se charger des dépenses dues à un départ prématuré du locataire ou bien à celles dues à un recours en justice contre une manque d’engagement de ce dernier.

En tout, cette assurance aide le propriétaire car elle assure sa protection contre des locataires ne pouvant pas remplir leurs engagements, comme décrits dans le bail.

Se protéger contre les loyers impayés : qui sont concernés par l’assurance loyers impayés ?

L’assurance loyers impayés est bénéfique pour toute personne ayant fait des investissements dans l’immobilier. Cette assurance est surtout destinée à tout investisseur en immobilier mais surtout dans les locations d’habitation. Dans certains cas, quelques assurances acceptent les souscriptions à cette offre pour les locations à usage professionnel, si l’activité s’exerce dans le cadre libéral.

Il est utile de savoir que les résidences secondaires et les locations saisonnières ne sont pas concernées par cette offre. De même, les logements de fonction et les locaux à usage commercial aussi ne peuvent pas en bénéficier.

Il est important de préciser que si votre maison ou que votre immeuble est qualifié d’insalubre, l’assurance ne peut pas vous permettre de souscrire à cette offre.

Les assurances santé animales permettent de se faire rembourser totalement ou en partie des frais vétérinaires. Les frais de stérilisation (chez une femelle) et de castration (chez un mâle) font l’objet de conditions particulières et c’est au propriétaire de l’animal de vérifier si l’assurance santé animale qu’il a souscrite les prend en charge ou non. Avant toute chose, il est important de savoir comment assurer son animal de compagnie, notamment concernant l’assurance des régimes canins.

Prise en charge des frais de stérilisation/castration

Les animaux de compagnie chiens et chats n’ont pas absolument besoin d’avoir des petits. La stérilisation ou la castration d’un chien, d’un chat est une intervention chirurgicale qui présente plusieurs avantages : des risques réduits de fugue, de bagarres entre congénères, moins de risques de développer un cancer, élimination des marquages de territoire, et d’autres encore. La souscription d’une assurance animaux remboursement stérilisation permet la prise en charge des frais de stérilisation ou de castration de votre compagnon à quatre pattes. Si l’intervention est pratiquée avant 6 mois (âge moyen où le chat et le chien développent des instincts de reproduction), le prix de l’acte chirurgical est moins élevé (comptez entre 100 et 150 euros selon le vétérinaire). De nombreuses assurances santé pour animaux remboursent une somme forfaitaire quand l’opération est réalisée avant l’âge limite fixée par l’assurance.

Remboursé ou non ?

Si vous prenez un chiot ou un chaton et que vous souscrivez une assurance santé pour couvrir d’éventuels frais médicaux dont il pourrait avoir besoin, il est important de bien lire les clauses du contrat relatives aux conditions d’assurance animaux remboursement stérilisation. En effet, pour éviter des comportements désagréables et contribuer au bien-être de l’animal, il est préférable de prévoir la stérilisation ou la castration de votre compagnon à quatre pattes (à moins d’avoir une vocation d’éleveur). Il est indispensable de vérifier si votre organisme assureur fait entrer ce type d’intervention vétérinaire dans la catégorie soins de confort ou frais chirurgicaux et médicaux, car cet élément est déterminant pour le remboursement. Savoir assurer son animal de compagnie, y compris en ce qui concerne l’assurance des régimes canins, est une étape cruciale pour sa santé.

Des taux de remboursement variable

En matière d’assurance animaux remboursement stérilisation ou castration, on peut dire que la position des assureurs varie, les uns l’incluant dans leurs couvertures, les autres non. Par conséquent, le taux de remboursement est aussi variable d’un contrat à l’autre et d’une compagnie d’assurance à l’autre : parfois, le remboursement est partiel à 50 %, 80 % ou total 100 % si l’assurance prend tout en charge. Il convient de prendre en compte ce critère quand on veut souscrire une assurance santé pour un animal et que l’on sait que l’on va procéder à la stérilisation ou castration de l’animal. Certains assureurs imposent une franchise dont le montant varie selon la formule choisie.

Nombreuses sont les personnes qui s’interrogent encore sur l’âge idéal pour la souscription à une assurance-vie. En effet, de nos jours, la plupart des gens ne connaissent pas vraiment à quel est l’âge idéal assurance-vie.

Qu’est-ce qu’une assurance-vie ?

L’assurance-vie est un contrat d’assurance versé par l’assuré et par lequel ensuite l’assureur s’engage à verser des rentes ou des capitales aux souscripteurs en cas de besoin. Le versement de celle-ci se fait par le type de contrat souscrit par la personne en question. Effectivement, il existe deux types de contrats d’assurance-vie : les contrats d’assurance en cas de vie et les contrats d’assurance en cas de décès. Contrairement aux idées reçues, les assurances de vie ne sont pas des placements qui sont perçus uniquement en cas de décès du souscripteur, car c’est même l’inverse de cela. En effet, appelés également « assurance sur la vie », ces contrats permettent à l’assuré de toucher les sommes qu’ils ont épargnées en cas de vie au terme du contrat. En outre, le contrat d’assurance-vie ressemble davantage à placement ordinaire ou à un contrat d’épargne plutôt qu’à une assurance de décès proprement dite.

Pas d’âge spécifique pour l’assurance vie

En générale, il n’y a pas d’âge idéal assurance-vie, au contraire il peut être ouvert à tout âge. En effet, la réglementation ne dit rien sur une quelconque restriction en matière d’âge. Il n’y a rien qui vous interdit de vous souscrire à l’âge de 30, de 50 ou encore de 70 ans. Néanmoins, il existe certains assureurs qui peuvent limiter la souscription pour les personnes qui présente un âge élevé, c’est-à-dire à partir de 85 ans, comme le recommande la FFSA (Fédérations françaises des sociétés des assurances). Il est donc nécessaire de savoir à l’avance les conditions qui vous sont offertes par votre assureur. Ce qu’il faut savoir c’est que plus vous cotisez tôt, plus les cotisations sont longues et plus les placements sont intéressants, particulièrement pour les rachats qui seront soumis à des fiscalités particulières.

Comment choisir entre assurance-vie temporaire ou permanent ?

Si vous êtes déterminé à vous inscrire à une assurance-vie, il faudra aussi choisir entre une assurance temporaire ou permanente. En effet, si vous désirez une offre de soutien durant laps de temps bien déterminer, mais qui peut être renouvelé, le mieux est alors de souscrire à une assurance-vie temporaire. Toutefois, l’assurance-vie permanente est idéale pour les personnes qui ont besoins de soutien à vie. Dans ce cas, l’âge idéal assurance-vie peut varier.

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